C’est ton manège qui m’entraîne Paris
Paris les sanglots longs des violons de l’automne
La chaîne rompue pourtant, ton manège estompé dans les derniers grelots
de neige le bruit blanc du planétarium flocons Radio Paris
d’ondes mortes coton
ta voix oxygène
et pourtant elle tourne en moi giration oraison
tourne en moi la nébuleuse du Scythe ses bras- Radio Paris ment
-faux Radio Paris parle Allemand
Où, se tenir ?
Lien vers toutes les jaculations nocturnes et diurnes, cliquer ici
Lien vers la page d’accueil : cliquer sur le titre du blog, La Bibliothèque des Sables