« Places, ô place à Paris, théâtre illimité
où Madame Lamort, modiste, enlace les rubans sans fin des chemins inquiets de la terre,
invente des noeuds, des ruches, des fleurs des cocardes,
des faux fruits nouveaux
et couleurs invraisemblables, pour chapeaux d’hiver bon marché du destin. »Rainer Maria Rilke, Septième Élégie de Duino, traduite par Lorand Gaspar et Armel Guerne