JAMAIS UN BAUDET

SOIT QUE nocturne le fît choir vers l’espace
Capture d’écran 2018-02-23 à 00.38.33.pngRuban pérégrin déroulé et séparé du champ en bordure Du
Et noir d’une consécration passé le jour à nul titre advenu
Des appendices les étoiles couronnant si haut
Qu’auditifs confondus de l’immense désespoir que si
De la longe issu, ET CELLE-LÀ,
Décasyllabe laisse de vacuité pendant à la crête tragique de l’instant
LE GESTE d’une désinvolture empreint
Dénouant le Gordien par où l’animal leste rattaché
Quoiqu’aggravé d’une graminaire satiété
Courra
Emportement
Ivresse
Des collisions
N’ABOLIRA
LE CONDUCTEUR
Ébloui dans l’entrecroisement avec les yeux Apuléens
Sous l’expression démesurément longue susdites des appendices
LES PHARES
Jadis il rétrogradait
Et portant le verbe au point du pied le plus bas
d’exclamation
Rétréci sous l’iambe de l’action
Au plancher l’antique levier
Se sait d’un autre siècle à l’occident du ciel
Le cercle
Exacerbé de l’arrière train décrivant convolu
En justes noces avec le destin précipité
Si ce n’est que crissât-il des scrupules projetés
Foudroyât-il les verreries éberluées
L’arrêt
Intempestif du véhicule
Obtempère
Et libère au septuor l’insigne paix rotonde
Tandis que de l’équidé ne demeure
Vestige dans la nuit assourdie
Qu’évanescent panache
De queue
LE BAZAR

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Classé dans Grains de sable isolés

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