Les grandes peurs, les tornades, les tempêtes qui nous traversent
Plaies
(Tes villes, répandues en poussière, et qui n’ont jamais existé : corail de verre dedans le ciel, et derrière chaque fenêtre éteinte, l’animalcule emmaçonné)
d’Égypte.
Derrière mes paupières, un champ lève. À l’horizon, le nuage noir de la prescience,
infuse : volutes, amas, lobes, vortex, cortex
Je ne serai pourtant pas le héros, au bras calme portant,
aux goufffres de mémoire, le sacré coeur de paix
ni le Saint Jean-Baptiste
Je n’ai pas vu la Vérité
Ses voiles !
C’est dans le noir que nous nous sommes baisés ! Qu’on ne m’accuse
de lâcheté : la vérité ne se voulait pas voir
D’où, d’où, se tenir ?
Lien vers toutes les jaculations nocturnes et diurnes, cliquer ici
Lien vers la page d’accueil : cliquer sur le titre du blog, La Bibliothèque des Sables
Vous êtes mon labyrinthe favori. 🙂
Mais le Minotaure…
Mais Thésée vous ! dirait l’oracle…