(Vers la présentation de Christopher Dewdney dans mon précédent billet poète des temps confondus : cliquer ici)
« Cool summer night. Blue midnight sky behind deserted buildings. Nostalgia steeped in its own intoxication. Empty dance pavilion beneath the summer stars. Every forest is a beckoning sensual labyrinth of lust. Radiowave rooms echoing within rooms, the hollowness of love remembered within love realized. The lonely bliss of completion. Delicious emptiness in this late summer night. After the dance a waning moon rises.We walk through empty streets past buildings filled with sleepers. Their dreams perfuse the night air. »
Christopher Dewdney, Signal Fires, McLelland&Stewart Inc.
« Fraîche nuit d’été. Le ciel bleu de minuit derrière des bâtiments abandonnés. La nostalgie infusée dans sa propre intoxication. Vide pavillon de danse sous les étoiles d’été. Chaque forêt est un labyrinthe sensuel, et signifiant, de concupiscence. Des chambres d’ondes radio font écho à l’intérieur d’autres chambres, la vacuité de l’amour remémorée de l’intérieur de l’amour réalisé. L’extase solitaire de l’achèvement. Délicieux vide en cette nuit de fin d’été. Après la danse une lune déclinante se lève. Nous marchons au travers des rues vides, au long de bâtiments emplis de dormeurs. Leurs rêves imprègnent l’air nocturne. »
Traduction (modeste et littérale) Votre Serviteur
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